En cette fin d'année, un legs de derrière les fagots.
Un constat merveilleusement formulé sur des temps qui semblent s'être figés.
Une confidence amère et profonde que je partage sans condition.
Sans avoir l'audace d'espérer l'égaler un jour, je me retranche derrière cet immense écrivain et fais miens ses propos.
Car être auteur, c'est participer à la réflexion de sa propre société... et tenter de l'inspirer.
Belle fin d'année à tous.
"Je vis comme je peux...dans un pays malheureux" Albert Camus
Évidemment, à l’ère du Corona, la démarche semble quelque peu compromise. Rencontrer, voyager, expérimenter, risque fort de constituer des ambitions restant à l’état de velléités. M…
On pourrait imaginer qu'en cette période de confinement un auteur redouble de productivité. On pourrait imaginer qu'il se sente inspiré par cette situation inédite, ébranlée, et que ses journ&eacu…
Quelques semaines en arrière, si l'on nous avait dit que le pays entier serait bientôt à l'arrêt et que l'intégralité de sa population se retrouverait confinée, nous aurions sans doute ri, et …
C'est ton anniversaire, mais tu n'y penseras pas.
Encore un jour d'oubli, où le vide règne en roi.
Penses-tu seulement encore ?
Prisonnier de ce corps au cerveau atrophi&eac…
La saison des couleurs, la période des transitions, le moment du bilan.
Les feuilles tombent et irisent les trottoirs, mes pages forment un tapis.
Alors que la fraîcheur de l'automne gagne en vigueur, je me retranche en mon for int&eac…