En cette fin d'année, un legs de derrière les fagots.
Un constat merveilleusement formulé sur des temps qui semblent s'être figés.
Une confidence amère et profonde que je partage sans condition.
Sans avoir l'audace d'espérer l'égaler un jour, je me retranche derrière cet immense écrivain et fais miens ses propos.
Car être auteur, c'est participer à la réflexion de sa propre société... et tenter de l'inspirer.
Belle fin d'année à tous.
"Je vis comme je peux...dans un pays malheureux" Albert Camus
Au-delà de l’écriture d’un best-seller ou de l’avènement de mes ambitions de scénariste éclatant sur un écran, c’est de projet de vie dont je veux vous parler aujourd’hui.
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Avoir mené près d’une vingtaine d’ateliers d’écriture dans des classes d'école primaire durant deux mois a été riche d’enseignement pour moi. Pas seulement pour parfaire ma façon …
Elle n’a que quelques millénaires d’existence, il est vrai. Elle n’est encore qu’une enfant de la vie, livrée à elle-même, exempte de toute référence ou modèle équivalent. Elle …
Évidemment, à l’ère du Corona, la démarche semble quelque peu compromise. Rencontrer, voyager, expérimenter, risque fort de constituer des ambitions restant à l’état de velléités. M…
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