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LES ENFANTS DE PANGEE

LES ENFANTS DE PANGEE

repartent à l'assaut des séries TV. Démarches en cours.

Auteure (de nouveau) en résidence

Auteure (de nouveau) en résidence

Seconde collaboration avec l'association Paq'laLune : ateliers d'écriture et texte personnel autour de la crise sanitaire et du monde d'après.

EXPERIENCES ET INSPIRATION

EXPERIENCES ET INSPIRATION

Il ne faut pas écrire pour vivre, mais vivre pour écrire. Programme anti-virus 2021.

PROJET - en cours d'écriture

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PROJET - phase de documentation

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PROJET - phase de documentation

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L'histoire

Le thriller interactif

Inspirée par la vogue des "livres dont vous êtes le héros" qui avait fait fureur dans les années 80, la maison d'édition française READIKTION a imaginé une application numérique permettant aux lecteurs de découvrir un roman de façon interactive.

Le principe est simple : l'histoire est constituée d'épisodes se terminant tous par une question, et invitant le lecteur à décider lui-même du chemin qu'il souhaite prendre. Il existe donc plusieurs versions, plusieurs voies, plusieurs fins.

Tantôt axés sur une orientation géographique (droite, gauche, quelle porte, quel escalier...), les choix peuvent également exiger davantage de réflexion en fonction des informations et indices déjà rassemblés, et vous interroger sur des problématiques de tous ordres : morales, techniques, psychologiques...

Dans les "Readiktions", pas besoin de dés ni de carnet de bord comme c'était le cas dans les "livres dont vous êtes le héros" : votre imagination et votre sens de la réflexion constitueront vos seuls atouts.

Mais attention : la mort vous guette. Un mauvais choix, une mauvaise décision... et vous voilà sombrant dans le trépas. Il vous faudra alors revenir en arrière si vous voulez trouver la bonne voie.

A noter : chaque version de l'histoire peut apporter des situations et des informations complémentaires... Si vous voulez vraiment tout savoir, tout comprendre, tout vivre, renouvelez l'aventure en empruntant de nouveaux chemins !

Découvrez la suite

en téléchargeant

sur votre tablette ou mobile

l’application Readiktion !

 

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RÉSUMÉ DE L'HISTOIRE

Simon, grand banquier de Wall Street, se réveille dans un ascenseur après avoir perdu connaissance. Un ascenseur étrange, qui n'a rien à voir avec celui dans lequel il était entré, s'ouvrant sur un bâtiment inconnu, fermé... qui va se révéler mortel.
Comment est-il arrivé là, et pourquoi ? Qui l'a placé dans ce traquenard et comment peut-il en sortir ?
Une quête infernale pour la survie commence, une quête où chaque choix aura son importance et apportera des réponses.
Une quête dont l'enjeu pourrait bien changer la face du monde...


Resume

 


Simon ne sera pas seul.
Il rencontrera d'autres prisonniers, et devra décider s'il s'en fait des alliés... ou pas.
Il rencontrera des ennemis enragés, et devra décider s'il se soumet... ou pas.
Il devra apprendre, comprendre, accepter.
Il se pensait en haut de la chaîne alimentaire...
Survivra-t-il dans la souricière ?
Découvrirez-vous qui se cache derrière ?

Le livre en images :

Traquenard

Traquenard

Ascenseur

Ascenseur

Choix

Choix

Dangers de mort

Dangers de mort

Ennemis

Ennemis

Epreuves

Epreuves

Terreur

Terreur

Révélations

Révélations

Morale

Morale

Qui ?

Qui ?

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Extrait : épisode d'ouverture

Une envie de vomir le saisit et l’extirpa de sa léthargie. Il se redressa brusquement, brassé comme si on l'avait passé au shaker, mais un mal de tête fulgurant le recoucha aussi sec. Il avait la sensation que son crâne avait gonflé comme une pastèque et qu'on avait essayé de l'exploser à coups de marteau. Il porta la main à son front et réalisa que le reste de son corps était aussi endolori que s'il sortait d'anesthésie. Les yeux clos parce qu'il peinait à les ouvrir, il tourna la tête sur le côté, cherchant une position qui le soulagerait, mais sa joue rencontra une surface humide et malodorante. Il entrouvrit les paupières et constata qu'il avait abondamment bavé sur le sol. Dégoûté, il roula sur le dos et meugla de douleur. Sa tête pesait une tonne et il était certain qu'elle était fêlée ! Aveuglé par la luminosité ambiante, il cligna longuement des yeux. Des néons irradiaient l'ascenseur de leur lumière violente.

« Des néons ? »

Il déploya des efforts surhumains pour revenir pleinement à lui. Il avait un problème. Un gros problème. Il n'était plus dans « son » ascenseur. Plus de boiseries ni de dorures, plus de moquette ni de musique. Un lino gris, des parois en acier, une température basse et des grésillements entêtants… Il tourna la tête vers les portes : elles étaient ouvertes et donnaient sur un étage sombre. Qu’il n’avait jamais vu.

Hébété, pas très sûr d’être véritablement réveillé, il resta immobile un moment. Mais pour comprendre ce qui lui arrivait, il lui faudrait bouger. Dans un cri de douleur, il se redressa sur un coude et parvint à s'asseoir pour analyser ce qu’il percevait dorénavant comme un cauchemar. Cet ascenseur n’était pas celui de la banque, c’était une certitude. Alors où était-il ? Et comment était-il arrivé là ? Il n'avait le souvenir de rien, strictement rien au-delà de sa perte de connaissance. Il avait quitté le bureau tard, comme d’habitude. Il avait commencé à descendre tranquillement les 33 étages de la Tour sur la douce musique de Bach en dressant le bilan de ce qu'il avait acquis au cours de la journée. Il s'était même mis à siffloter… et puis tout s’était éteint. Le noir complet, l’arrêt brutal. Il avait appuyé sur le bouton d’urgence, qui s'était révélé inopérant. Il avait pesté contre l’architecte, puis le contremaître, puis l’entreprise de maintenance… avant de se sentir partir. Vaciller, tanguer, tomber.

Plus rien. Impossible de se rappeler comment il avait pu atterrir ici.

Saisi d’un sursaut de lucidité, il chercha sa mallette de tous côtés. Elle était posée derrière lui ! Il la saisit avec fébrilité, l'ouvrit... et fut rassuré de constater que rien n'avait bougé. On ne lui avait rien volé… à part son téléphone portable. Il soupira bruyamment, et dans un ultime effort, s'agrippa à la vulgaire barre de fer qui faisait office de rampe pour se remettre debout. Quelques vertiges plus tard, il posa un pied devant l'autre et passa la tête dans le couloir.

- Y a quelqu’un ?

Un corridor s’étirait devant lui, tournant à angle droit à environ dix mètres. Des ampoules suspendues à leur fil éclairaient misérablement le sol et les murs en ciment. Pas un son ne brisait le silence total du bâtiment.

- Y a quelqu’un ? s’écria-t-il plus fort.

L’écho de sa voix lui revint plusieurs fois, mais resta sans réponse. Il grogna et se tourna vers la console de boutons avec la ferme intention de quitter les lieux mais son regard se figea : elle était constituée de têtes de mort. Treize têtes identiques, alignées à l'horizontal ! Il sentit sa salive se retirer de sa bouche et son cœur se mettre à palpiter.

Extrait 1

Un gros matelas les réceptionna. Ils s’y étalèrent de tout leur long, Harold cria de douleur et Simon resta déboussolé quelques secondes… avant de réaliser qu’ils avaient atterri dans une nouvelle ineptie. La pièce dans laquelle ils se trouvaient était sombre, baignait dans une chaleur humide, et était coupée en deux par une immense vitre en plexiglas donnant sur un bassin creusé dans le sol et rempli d’eau. De l’autre côté de cette piscine d’environ trente mètres carré, une porte. Une seule. La sortie. Le seul moyen de l’atteindre, c’était de traverser.

Simon se remit sur pieds et rejoignit la vitre pour observer l’eau avec attention. Le manque de lumière la rendait noire et il était impossible de discerner le fond. Il aperçut alors un fusil de chasse, posé près d’une ouverture permettant d’approcher le bassin. Il vint s’en emparer, vérifia les munitions… une balle. Une seule.

- Regardez ! s’écria soudain Harold, terrifié.

Il pointait le doigt vers la piscine. Simon scruta les eaux… et sa respiration se coupa. Un dos d’écailles se prolongeant en une longue queue venait de passer à fleur d’eau avant de plonger.

- Ce cauchemar ne s’arrêtera jamais ! pleura Harold en se laissant retomber sur le matelas.

Simon contempla longuement le bassin, à l’affût, concentré. Il comprit qu’il n’y en avait qu’un. Un prédateur. Une balle. Une chance de survie.

De cette situation, il déduisit deux solutions. Soit il tuait la bête pour pouvoir nager et sortir de là avec Harold, mais il n’aurait droit qu’à un seul essai… Soit il abattait le PDG pour l’offrir en pâture, créant ainsi une diversion assurant sa fuite.

Extrait 2

Le groupe entier se pétrifia telle une statue de sel. Une voix venait de retentir. Une voix robotique, déformée, en provenance de partout et de nulle part. Une voix à l’intonation sentencieuse. Simon fut le premier à se dégager du groupe et à répondre, tête levée, avec agressivité.

- Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous nous voulez ?

- La première question n’a pas de réponse, et c’est vous qui devrez répondre à la seconde.

- Quel est le but de toute cette mascarade ? insista-t-il avec colère. Nous faire souffrir, nous faire payer ? Quoi ?

Un silence glaçant s’imposa, engendrant l’effroi. Tous ces hommes et ces femmes d’ordinaire si sûrs d’eux et assis sur la canopée du monde, n’osaient plus ni bouger, ni respirer… ni même exister.

Et puis un cri atroce retentit ! Le groupe se retourna dans sa direction et réalisa qu’une trappe venait de s’ouvrir sous les pieds d’un homme, dont le hurlement disparut dans le néant ! La panique s’empara de tous, et chacun s’éloigna du trou béant pour aller se réfugier dans un coin… avant de réaliser que le sol tout entier n’était constitué que de sections identiques ! 

- Vous avez le choix, déclama de nouveau la voix. Comprendre, ou mourir.

- Quoi ? s’écria Simon. Mais qu’est-ce que vous voulez dire ?

Pour toute réponse, deux nouveaux cris perçants lui déchirèrent les tympans : un homme et une femme se trouvant à quelques mètres de lui venaient de chuter dans les ténèbres à leur tour ! Le groupe éclata en une myriade d’individus terrifiés qui se répartirent partout dans la salle, les yeux rivés sur leurs chaussures. Marc Céral releva la tête vers le plafond :

-  Dites-nous ce que vous voulez et vous l’aurez !

Un silence dédaigneux les toisa, générant gémissements et tremblements. Tous les yeux étaient rivés sur le plancher. Les prisonniers trépignaient, piétinaient, cherchant à anticiper la prochaine ouverture en espérant pouvoir y échapper. Des deux trous noirs déjà formés, émanait un air glacé véhiculant une odeur de mort.

Date de dernière mise à jour : 19/07/2019

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